Portrait du créateur

Créateur de mode, Il s’est installé à Paris en 1999 pour intégrer la formation management de la mode à L’Institut Français de la Mode. A la sortie de l’école, il a travaillé dans l’industrie du sous-vêtement pour différentes marques de luxe françaises et italiennes parmi lesquelles Givenchy, Christian Lacroix ou encore Armani. L’Homme Invisible était l’un de ses clients ! C’est lui qui a travaillé sur la confection du premier pyjama « Buddah ». Il est tombé amoureux de la marque, sans vraiment savoir à l’époque qu’un jour c’est lui qui dirigera L’Homme Invisible.

En 2012, il a signé dans la foulée sa première collection en tant que directeur de la création. L’enjeu, pour lui, était de donner un nouveau souffle à la marque tout en protégeant et pérennisant le savoir-faire et la tradition française qui la caractérisent si bien. Cette première ligne aura d’ailleurs ouvert les portes des Galeries Lafayette et de plusieurs points de vente de Luxe à L’Homme Invisible.

Les idées, La création, les collections

La clé de mes collections, c’est l’inspiration. Il nourrit son imaginaire du milieu de l’art et du design, de la culture, d’une évolution constante de notre mode de vie. Il est également très inspiré par les tissus et les matières, il parcourt tout l’Europe en quête des meilleures matières, en les regardant, en les touchant, l’idées viennent tout seul !
Pour lui, faire des sous-vêtements homme de créateur, c’est comme un chef qui fait la cuisine : il concocte la recette avec les ingrédients qu’il trouve.

Sa relation avec les clients

Sandeep est très proche de ses clients. Il discute beaucoup avec eux, il répond à leurs attentes et les fait participer au processus de création. Pour lui c'est très important car ce sont eux qui vont porter les sous-vêtements qu’il créé donc ils doivent être au cœur de la création. 

Sa vision pour la marque dans quelques années ?

Depuis qu’il a repris L’Homme Invisible, il essaye de tendre vers des collections et des produits plus écologiques, plus respectueux de l’environnement. Dans les années à venir, il aimerait pousser une démarche solidaire en privilégiant plus du « Hand made » et l’artisanat pour pérenniser les savoir-faire ancestraux. Et plus de transparence (pas que dans les produits il sourit) sur la production et moins de packaging !

Les dates clés


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